L'art de la bijouterie n'a pas été une évidence pour moi mais plutôt le fruit d'une dizaine d'années à étudier les arts appliqués (architecture, spectacles, mode, costumes, ...) mais la finalité était qu'il manquait toujours un élément essentiel ; le besoin de faire, d'aller au bout des choses ! J'ai alors pris le pari de me reconvertir et de me former pendant 2 ans, au sein de la seule école de bijouterie-joaillerie bretonne, sans idée précise de ce que je ferais après. Après plus d'un an de réflexions, le projet se précise en Mars 2018 avec une mission bien précise : moderniser la bijouterie bretonne en valorisant le patrimoine local. Finalement, le projet débute en Octobre 2019 avec une campagne

J’ai toujours voulu faire ce métier, passionnée d'art et adepte de la culture pub je rêvais de travailler dans ce milieu. Après une école d’arts graphiques à Tours dans laquelle j’ai appris différentes techniques artistiques manuelles ( à l’époque il n’y avait qu’une semaine de PAO sur ordi et je vous raconte pas la taille des pixels !) j’ai finalement changé de projet car je me suis vite rendue compte que dans la pub il n’y avait pas beaucoup de place pour l’illustration … Je suis donc retournée à la Fac d’Arts Plastiques dans l’idée de pratiquer, d’enseigner et passer un CAPES d’arts plastiques. Au final je me suis super éclatée en travaillant avec beaucoup de liberté d’expression ( je sculptais des

Plasticienne de formation, après un détour d’une quinzaine d’année dans le monde de l’enseignement, notamment chez les ingénieurs des Arts et Métiers, j’ai eu besoin de reprendre pied dans la terre. Passionnée d’art nouveau et rêvant de mettre du beau dans le quotidien, j’ai complété ma formation initiale par l’apprentissage du métier de carreleur chez les Compagnons du Devoir et fait quelques gammes en céramique notamment à l’école d’art de Douai avec Jean-Claude Ourdouillie , Marc Uzan, puis à Tours avec Céline Turpin. Ce changement de vie professionnel s’est accompagné d’une envie de jardin. Nous rêvions d’une vie plus douce pour nos enfants, de décroissance, d’aventure. Nous avons quitté le Nord de la France, le lieu d’exposition que nous y avions

J'écris depuis le primaire ! C'est une activité qui a toujours fait partie de moi et qui a évolué au fil des années. J'ai terminé mon premier roman au lycée et depuis je ne me suis plus arrêtée. "À pieds joints dans la Seine" est le premier que je publie. J'avais le désir de confronter mon histoire à un public plus large que mon cercle familial. C'est chose faite depuis mai 2020 et je ne le regrette pas. J'aime savoir que mon roman a su faire voyager ses lectrices et lecteurs. J'ai 34 ans et je travaille dans la communication digitale dans le secteur culturel. J'aime participer à des projets qui ont pour ambition de donner accès à la culture pour tou·te·s.

Arrivée il y a 20 ans sur le territoire, souhaitant développer du lien social, participer à la dynamique associative locale, tout en mettant en avant l’outil « jeu » qui me tenait tant à cœur, j’ai eu la chance de pouvoir constituer l’association Au Bois des Ludes avec un groupe de parents et d’adultes du territoire qui souhaitaient, tout comme moi, créer un lieu où nous pourrions échanger, jouer, partager ... Le « jeu » est alors un outil, un prétexte. C’est un extraordinaire moyen de faire connaissance mais aussi d’apprendre à se connaître soi-même, de partager des moments de qualité au sein de son foyer, mais aussi entre foyers, entre générations. Toutes ces petites graines ludiques semées ici et là,